Un coup de métro plus tard et je suis chez moi. J'aime bien mon appart.
Il me rassure. Proche de Bastoche, mais pas trop, assez près du métro,
quartier populaire sans être à la mode. Je m'y sens bien. Je me change
rapidement, un short en jean, des bas et des portes-jarretelles noirs,
un débardeur blanc, et une paire de boots montantes. Je suis presque
baisable ! Un peu de noir aux lèvres, encore un peu douloureuses, je me
cerne les yeux de la même couleur, on dirait une pute-punk-zombie qui se
rend à une partouze au Père Lachaise. Je passe une perruque bleue
coupée au carré, maintenant je frise la perfection. J'adore.
Je
passe au Monoprix acheter une bouteille de champagne, du Red Bull et de
la vodka. Faut bien fêter ça avec Mia. J’espère qu'elle m'attend
sagement.
Pendant que je refile ma carte bleue à la caissière,
très mignonne au demeurant, je remarque deux papys qui me dévisagent. Je
me retourne, j'écarte deux doigts et passe ma langue au milieu, de la
manière la plus suggestive qui soit. La confusion se lit sur leur
visage. Je les achève en tirant sur le décolleté plongeant de mon
débardeur, et en fait jaillir mes seins, fièrement dressés. La caissière
rigole, et les papys virent au cramoisi. Note pour plus tard : vérifier
les penchants sexuels de l’hôtesse de caisse, histoire de voir si une
séances de collage de timbre est envisageable avec cette jolie blonde.
Je
reprends le métro, et file voir Mia. Je vais même réussir à être à
l'heure si ça se trouve. Elle habite rue Oberkampf, c'est pas très loin
de chez moi. J'aurais pu prendre ma moto, mais y'a rien pour la garer
proprement dans ce coin là, et j'y tiens à ma Ducat'.
Je grimpe
les escaliers jusqu'au troisième étage et tambourine à la porte.
Pourquoi faire discret ? Elle ouvre, miam. Au naturel elle est encore
plus mouillable qu'avec son déguisement de pouf'. Elle porte juste un
très long tee-shirt Champion USA, et visiblement rien en dessous. Je
devine ses seins qui pointent et qui ballottent librement sous le tissus
bariolé. J'ai une bouteille dans chaque main, ce qui ne l’empêche pas
de me sauter au coup et de coller ses lèvres contre les miennes. Elle
s'agrippe à moi comme un pin's, et nous faisons quasiment l'amour contre
la porte d'entrée. Elle soulève mon Marcel, et bouffe mes seins en
gémissant. La soirée commence bien.
- Laisse moi rentrer ma belle, que je pose les réjouissances en lieu sûr.
Elle
désigne du menton le comptoir de la cuisine qui donne sur le minuscule
salon. Je pose les bouteilles, je me retourne, et l'empoigne à mon tour.
Je plaque une main contre son petit cul, et une autre sur sa nuque. Je
la colle contre moi, passe ma main dans ses cheveux, et glisse l'autre
sous son tee-shirt. Je pétrie ses fesses, fermes comme celles d'une
danseuse du Crazy; tout ce que j'aime. Elle frotte son entrejambes
contre la mienne, et délicatement, défait ma ceinture, et fait tomber
mon short sur mes chevilles. Elle est bien chaude la gamine. Nous
basculons sur le sofa, et mon visage se retrouve contre son minou lisse
comme un abricot. J'entreprends ses lèvres et son clito avec ma langue.
Je suis très habile à ce petit jeu. Je me caresse en même temps, d'abord
avec un doigt, puis avec deux, puis avec quatre, mon pouce masturbant
mon clito. Je la sens déjà venir, et je redouble d'effort pour ne pas
gâcher ce premier orgasme. Elle jouit, assez violemment, plaquant ma
bouche contre son pubis, s'aidant de ses jambes, qu'elle a croisées
derrière ma tête. Ma bouche me fait terriblement mal, ce con de
Bloomfield m'a quand même bien amochée, mais je serre les dents, et
parvient à synchroniser ma propre jouissance. Je m'affale sur le sol,
vidée, pendant qu'elle continue à se masturber, frénétiquement. Elle a
l'air d'en vouloir plus. Je l'ai mal jaugée semble-t-il.
Je
reprends mes esprits, et me dirige vers le comptoir où j'ai déposé mon
sac. Toujours le même sac à dos "Hello Kitty". J'en sors un gode
ceinture, de beau calibre. J'avais prévu de m'en servir sur l'autre
pédophile, mais je suis sûre qu'il aurait apprécié ce con. Gardons les
bonnes choses pour les bons moments. J'en profite pour mettre les
bouteilles au congélo, et je m'harnache avec les lanières en cuir, visse
le gode, et me dirige vers Mia, qui me regarde avec des yeux qui
semblent dire "tout ça pour moi ?". Et oui ma cochonne, tout ça pour
toi.
Je la retourne pour la foutre en levrette, elle mouille
tellement que je m'enfonce de vingt bon centimètres dans son con, d'un
seul coup de reins. Putain, elle est bien défoncée pour son âge. Je
m'agrippe à ses hanches, et je balance toute la rage accumulée après les
sévices de l'autre enculeur de mouches. Toujours garder la rage en soit
pour la recracher à des fins positives. J'ai appris ça pendant mes
cours de Krav-Maga, un genre d’aïkido mortel mis au point par le Mosad,
sont balaises les feujs. Ca marche pour la torture, et aussi pour le
cul. Surtout pour le cul dans mon cas.
Je la sens venir à nouveau,
putain c'est une usine à orgasmes cette petite salope; je suis encore
bien tombée. Alors qu'elle gueule et qu'elle tremble de tout son corps,
je m'extrais de sa petite chatte, et je rentre brutalement dans son cul.
Elle gueule un bon coup, et je la calme en lui giflant les fesses, tout
en continuant de lui élargir consciencieusement la rondelle. Au bout de
quelques va et vient, elle semble y prendre goût; tu me plais toi. Je
la masturbe d'une main, je la domine de l'autre en l’agrippant par la
crinière. Je vais te dresser petite effrontée. Elle se met à gueuler, je
sens le troisième orgasme proche. Je l’achève d'un dernier coup de
rein. Elle ne bouge plus, elle est enfin repue.
Je file vers la
cuisine, rapporte deux verres et la bouteille de champ, dont je fais
péter le bouchon, et reviens m’asseoir sur le canapé. J'écarte les
jambes, et lui fait signe de venir finir le boulot. Je me sers un verre,
pendant que Mia me mange le minou, et tout en appréciant le breuvage et
la langue de ma jeune compagne, je lui raconte en détail mon entrevue
avec Bloomfield. J'atteins l'orgasme au moment où je lui expose la
manière dont elle va devoir gérer la sexualité de notre pervers préféré.
Je devine la gratitude dans son regard, et je comprends qu'elle va me remercier toute la nuit ...
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