vendredi 13 juillet 2012

L'enfer du métro ...

 *** Lui ***

Bientôt 10 minutes que je te regarde à la station de métro.
Tu es juchée sur des escarpins noirs, moulée dans un ensemble tailleur jupe assorti.
Sous ta veste droite, ton décolleté me laisse à penser que seule une goutte de parfum se cache entre tes seins et le tissu.
Une working girl attitude qui attire les regards.
Tu fais mine de ne pas les sentir.

Je t'ai suivie. Je suis sur l'autre quai, maintenant en face de toi.
Je te fixe en attendant de chopper ton regard.
Au bout de quelques instants tu te rends que je te fixe avec insistance.

Mais tu as l'habitude que l'on te dévisage, qu'on te déshabille du regard.
Il faut dire que tu ne caches pas grand chose de tes formes généreuses.

Comme par défiance, tu pointes tes yeux dans les miens imaginant que comme d'habitude, le malotru détournera son regard.

Ce n'est pas le cas. Cette fois ci tu sens que cela va être différent.
Depuis plusieurs minutes mon regard reste planté dans tes yeux ...

Ton train arrive, la foule se déverse sur le quai.

Nous perdons quelques secondes le contact visuel …

*** Moi ***

Vingt-deux heures, il est temps de rentrer. Je quitte le bureau, dévale les escaliers en courant. Si je fais vite, dans moins d'une heure je serai chez Marc.
Il m'a promis une belle surprise pour ce soir.
Marc est mon amant, depuis deux mois. Deux mois qu'on baise comme des fous. Deux mois qu'il me baise comme on ne m'a jamais encore baisée. Je me sens enfin femme avec lui. Il sait faire ressortir ce côté catin que toute femme possède en elle.

J'arrive devant la station de métro, il y a du monde pour cette heure tardive.
La rame arrive à quais, les gens sortent, je m'écarte pour les laisse passer. Je sens que quelqu'un se colle à moi. Je me retourne mais je ne vois qu'une foule compacte.
Je me recule pour laisser passer une jeune maman avec sa poussette, et je sens à nouveau qu'on me colle. Je sens des mains qui se plaquent sur mes fesses.
Je tourne la tête brusquement, prête à en découdre ... mais le flot des voyageurs me pousse dans le wagon, je n'ai pas eu le temps de voir le visage du peloteur.

Je m'assoie et me cale au fond du strapontin. Ma jupe remonte bien haut sur mes cuisses, découvrant les liserés noir de mes porte-jaretelles, ainsi que la fine bande de peau qui les sépare de la jupe ...
J'ai froid tout à coup, un courant d’air, mes tétons pointent sous mon chemiser.

C'est alors que je croise ton regard. A tes yeux, je comprends que tu es celui qui m'a tripotée quelques secondes plutôt.
Ton regard est insistant, et tu scrutes mon entre-jambes. Je suis gênée, et je croise fermement les jambes et lisse ma jupe contre mes cuisses.

Mon IPhone vibre. Je le sors de mon sac. Un SMS de Marc : "Tu arrives bientôt ?"
Je tapote rapidement la réponse : "Oui, encore 40min et je suis là"

L'IPhone vibre à nouveau, il a du me répondre. "Dis à Marc que tu seras en retard, et écarte les cuisses, je veux deviner ton minou …".

J'ai l'impression que mon cœur vient de s’arrêter de battre.
Je redresse les yeux, ton regard est planté dans le mien, tu me scrutes, effrontément, passant ta langue sur tes lèvres.

Nouveau message : "Obéit, tu ne voudrais pas que ton mari apprenne l’existence de Marc ?"

Que faire ? Mon cœur bat de plus en plus fort.

Nouveau message : "Tu veux que j'en parle à Christian, que tu as épousé voilà 13 ans déjà, le père de tes deux enfants. Tu veux que j'envoie un courrier boulevard Pereire, au numéro 64, deuxième étages, première porte à gauche ..."

Je n'ose plus soutenir ton regard. Mes mains tremblent ...

Nouveau message : "Tu es calmée ? Tu es docile ? Alors écarte moi tes putains de cuisses".

J'écarte les jambes, j'obéis. Je fixe le sol, honteuse ... dans quelle galère me suis-je fourrée.

*** Lui ***

Je te souris. J’ai gagné. Je t’envoie mes ordres via un nouveau SMS : « dis a voix haute: QUI VEUT DE MOI »

Je te vois rougir à la lecture de ce message.
Tu te sens piegée... Ton cauchemard commence.
Toi la femme bourgeoise, je vais te transformer en pute.
Tu ne controles plus rien, je ne t’en laisse pas le choix ...

Tu commences par le dire une fois d'une voix tremblante : « qui veut de moi ».
Je ne suis pas satisfait. Tu le comprends à mon regard.
Tu essaies plus fort, mais les mots ne sortent pas : « qui veut de moi ».

Un SMS t’ordre de t’exécuter dans l’instant sinon …

« QUI VEUT DE MOI ! »

Tu hurles dans le wagon …

Un jeune banlieusard d'à peine 20 ans s'approche.
m‘dame, moi j’veux bien te donner tant que tu veux.

Un nouveau SMS ne tarde pas "prends le par le col de sa veste et donne lui ta langue"

*** Moi ***

Tous les hommes du wagon semblent excités, et a cette heure, pas un ne refuseras de baiser une petite salope comme toi avant de retourner voir bobonne.

Au fond de toi tu le sais, tu a tellement sucé de mecs en manque....

Le mec m'embrasse goulûment. Sa langue entre dans ma bouche et tourne autour de la mienne. Je sens ses mains qui empoignent mes fesses. Il relève ma jupe, et passe sa main dans le creux de mes fesses, sous mon string.

Le téléphone vibre. "Fouille dans ton sac et passe tonkit main libre. A partir de maintenant, tu suis les ordres à ma voix, et pas d'entourloupe".

J'ouvre le sac à main et passe l’oreillette.
J'attends les ordres.

L'autre gars me regarde, interloqué. "Tu me prends pour un gland ou quoi ? Tu allumes et puis quoi, tu veux téléphoner maintenant ?"

"Crie que tu veux sa queue dans ta bouche. Et mets toi à genoux."

Je me mets à genoux devant lui et je m’exécute : "Je veux ta queue dans ma bouche !"

Il ne se fait pas prier. Il sort sa queue déjà dure, et l'introduit.

- hummmf, t'es une bonne suceuse toi, prends toute ma queue grosse pute. T'aimes ca la bite d'arabe hein !

Je le pompe avec avidité, prenant sa queue à deux mains. Il s'agrippe à ma nuque pour pouvoir l’enfoncer bien à fond. Il augmente la cadence.

J'entends que les hommes du compartiment se sont approchés de moi.

Il jouit dans ma bouche dans un long râle. Il s'enfonce bien profondément, son foutre coule dans ma gorge. Il se retire et quitte le groupe, fier de lui.

"Avale tout. Dis que t'es une sale pute, et dis que t'en veux encore."
Je déglutis. "Je veux vos queues, je les veux toutes".

Un autre gars s'approche et me foure sa bite dans la bouche. Au bout de quelques va et vient, il jouit lui aussi.
Un autre prend ça place, puis un autre, puis un autre.
Je les pompe tous, un par un.
Je suis la pute du compartiment. Bizzarement, honteusement, j'aime cette sensation. La sensation de devenir une pompe à foutre ...

Je mouille comme une jeune pucelle. J'attends les ordres avec impatience.

*** Lui ***

Pour le moment tu entends juste ma respiration, forte et rauque. Un long 'mmmmmmmmmmmm' de plaisir te fait comprendre que la suite va bientot arriver.

« Tu as eu ta dose de foutre en bouche, maintenant leve toi et viens vers moi je veux que tu me suces pendant que toutes les bites du wagon vont te fourrer"

Tu sens une main ecarter ton string...
"Fixe moi, je veux voir que t'aime ca"
A ce momen preci, un mec te remplis sans capote.
Il s’adresse à moi : "ta pute elle a une grosse chatte bien mouillée, elle aime vraiment la bite".

Une file de mec s’est formée derriere toi
Je retire ma queue de ta bouche quelques secondes.
Tu te retournes et compte le nombre de queues qui vont te limer.

« Une, deux, trois ,.... 27 »

Tu me regardes, tu ne sais pas si tu as envie ou peur. Je te souris, tire tes cheveux en arriere et ma remet dans ta bouche....

*** Moi ***

Les hommes me prennent, un par un. Mon cul, ma chatte, tous mes trous y passent. Et toi qui continue à me pilonner la gorge de ta grosse queue.

De temps à autre tu te retires, craches sur mon visage, dans ma bouche, et tu recommences, encore et encore.

Tu fais le décompte ... "plus que 20, plus que 15, plus que 10".

Mon cul et ma chatte sont remplis de foutre. Je sens la semence qui coule entre mes cuisses.

"Et de 27, c'est à moi maintenant".

Les hommes sont partis, nous sommes enfin seul.

Tu agrippes mes fesses fermement et me pénètre violemment.
Je crie, ta queue me déchire.
Je t'entends rire. Tu continues de plus belle, le plus profondément possible.

Tu sens que ça vient. Je le comprends à ton rythme.

Tu sors de mon cul, et enfonce ta queue au plus profond de ma gorge.
Tu ramones ma bouche bien profondément.
Tes yeux deviennent comme fous.
Tu plaques un main contre ma nuque, de l’autre tu bouches mon nez. Je suffoque.
Tu donnes encore un dernier coup de rein et ressors.
Je vomis sous tes applaudissement.

Tu gifles mon visage avec ta queue gluante de salive.

« Ouvre la bouche sale pute »

Je exécute.

Tu entres, et jouis directement dans mon estomac.
J'ai un haut le cœur, du sperme ressort par mes narines, tu ries, tu me gifles, et avec tes doigts, tu ramènes ton foutre chaud dans ma bouche.

"Avale sale pute, ne gaspille pas. D'ailleurs, y'en a plein par terre. Lèche, et mange".

Je me mets à genoux, et avec la langue, je lèche le sol souillé. Je lape le sol, avale le liquide blanchâtre mélangé à la crasse.

Tu me regardes, de haut, tu me toises.
"T'es vraiment qu'une pute. T'es bonne qu'à ça hein. Vous êtes toutes pareilles"

Tu prends ton téléphone, compose un numéro.
"Tiens, c'est ton mari au téléphone, il veut te parler ...

Je prends le téléphone, fébrilement. Tu pars, sans un mot ... je ne comprends pas.
- Chérie ? C'est toi chérie ?
- Oui ... oui c'est moi.
- J’espère que tu t'es bien amusée ?
- De ... de quoi ? De quoi parles-tu ?
- Je parle de ta séance de baise que tu viens de terminer. Je parle de tous ces longs mois ou tu as baisé avec mon frère. Mon propre frère sale traînée ! Tu croyais que je ne me doutais de rien ? C'est lui qui m'a tout avoué. Il pleurait ce con. mais je lui ai pardonné. Pas à toi.
- Mais je ne comprends pas ...
- Tu n'as rien à comprendre. J'ai quitté la maison, et pas seulement pour le week-end. J'ai engagé un avocat. Tu n'auras droit à rien, tu m'entends ? RIEN ! Estime toi heureuse si je te laisse voir encore les enfants.
- Mais tu ne peux pas faire ça ...
- Et moi j'ai une vidéo où on te voit te faire bourrer le cul par presque trente mecs qui me dit le contraire …

Un rire résonne dans le haut parleur du téléphone.
Il résonne encore, et encore ...

C’est ce qui s’appelle se faire baiser, et en beauté

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